Malgré la lâcheté de la communauté internationale, les libyens avancent et la chute du despote de Tripoli s’approche...
C’est d’un véritable terroriste et assassin qu’il s’agit, alors que même les États "civilisés" traitent avec lui comme un vrai chef d’État. C’est la manne financière dont il dispose grâce aux richesses de la terre, par ailleurs amazighe, que l’État qu’il dirige occupe, qui les intéresse.
Mais aujourd’hui, cet énergumène se livre à un véritable génocide au sein des populations qui se sont soulevées pour crier leur rejet de la dictature et de l’humiliation qui n’ont que trop duré.
Militaires, policiers, agents des fameux comités "révolutionnaires", véritable milice au service du tyran, sont entrain de tirer à bout portant, usant même d’armes de guerre, sur les manifestants. Comme si tout cela ne suffisait pas, le dictateur engage des mercenaires recrutés dans les pays voisins, grassement payés, pour les envoyer terroriser et tuer partout où les populations sortent dans la rue pour contester et appeler à la chute du régime de Kadhafi.
Qu’un malade, crapule d’un autre âge, s’adonne à cet exercice, cela peut paraitre chose normale. Mais que la communauté internationale laisse faire une boucherie pareille, cela est dramatique. Il est inquiétant de constater le silence d’États comme la France ou les États-Unis d’Amérique après six jours de répression féroce.
Qu’attendent ces donneurs de leçons en matière de droits de l’Homme pour lever le petit doigt et dire à ce minable de Kadhafi d’arrêter son jeu ? Attendent-ils que tout le peuple soit exterminé ? Qu’est-ce qui tourne dans leurs têtes en ce moment ? Les enjeux liés aux riches que regorge le sol libyen doivent être pour beaucoup dans cette position indigne de "démocraties" occidentales. Et comment croire au discours de paix souvent tenus par ces puissances ? Peut-on aspirer à la paix sur cette Terre avec des individus comme Kadhafi qu’on tolère à la tête d’États ?
L’attitude criminelle de ce tyran justifie non seulement la réaction de la communauté internationale, mais une résolution du Conseil de sécurité et une intervention militaire pour le faire taire à jamais... ce minable. Il est un danger pour l’Humanité entière... certains ont déjà oublié les crimes qu’il commis et les exactions dont il s’est rendu responsable.
Il n’est pas interdit d’espérer, mais en attendant, nous allons tout faire pour apporter soutien, ne serait ce que moral, à ceux qui ont eu le courage de sortir affronter le despote et qui sont déterminés à se battre jusqu’à la chute de la bêtise dans cette partie de la Berbérie, en attendant la véritable libération....
Samedi 19 février 2011.
Nous apprenons, par le site Ossanlibya.org que l’un des fils de Kadhafi serait arrêté dans l’un des hôtels de la ville de Benghazi. Le site signale que le capitaine Sanoussi qui s’occupe de la sécurité personnelle de Kadhafi, et qui a son service 1500 hommes, n’a pas pu le libérer pour le rapatrier à Tripoli.
Par ailleurs, et selon la même source, qu’un nombre important des membres de la famille du tyran auraient quitté la Libye.
- Au moins 84 morts, selon le site Libération.fr :
En Libye, 84 morts au moins depuis mardi.
Les forces de sécurité ont tué au moins 84 personnes en Libye depuis le début des manifestations mardi, selon Human Rights Watch, qui s’appuie sur des témoignages de personnel hospitalier et de témoins, et affirme que la plupart des 35 personnes décédées vendredi ont été « tuées par des balles réelles tirées par les forces de sécurité ».
A Benghazi, bastion de l’opposition, les affrontements ont été particulièrement violents hier vendredi.
Vendredi 18 février 2011 - 10http://lci.tf1.fr/monde/afrique/lib....
Les médias font état d’au moins 24 morts en Libye et des dizaines de blessés, selon des témoignages locaux.
Le site amazigh Ussan rend public une liste de 10 morts avec leurs noms et signale 3 morts non identifiés.
Ibrahim Mohamed Arfi (19 ans), Nadji Djamaa Djardan Kouafi (18 ans), Moutaz Abd Ati Darouki (19 ans), Ahmed Allam (27 ans), Fawzi Hocine Sabri (36 ans), Marwan Chatchat (20 ans), Mohamed salem Boudjenah (21 ans), Idris Ali Raslan (13 ans), Rami Salah (18 ans), Fathi Boudjellaoui (26 ans).
Vendredi 18 février 2011 - 20h - Le Parisien
En Libye, le bilan s’élève vendredi à 41 morts depuis le début des protestations mardi, selon un décompte de l’AFP fait à partir de différentes sources locales.
Ce bilan ne comprend pas les quatre détenus tués vendredi par les forces de l’ordre alors qu’ils tentaient de s’évader de la prison d’El-Jedaida, près de Tripoli, ni les deux policiers pendus par des manifestants à Al-Baïda (200 kilomètres de Tripoli).
Dans la journée de vendredi, de nombreux prisonniers se sont évadés après une mutinerie d’une prison à Benghazi, deuxième ville de Libye où les manifestations contre le régime ont été réprimées dans le sang. « Il y a eu une mutinerie à la prison d’al-Kuifiya et un grand nombre de prisonniers se sont échappés », a déclaré le chef de la rédaction du journal local Quryna, Ramadhan Briki.
Le siège de la radio de Benghazi a également été incendié par des manifestants.
Benghazi est l’un des bastions de la contestation anti-Kadhafi et les manifestations qui s’y déroulent depuis mardi sont violemment réprimées. Rien que pour la journée de jeudi, quatorze personnes auraient été tuées dans les opérations de maintien de l’ordre. Des milliers de personnes ont participé vendredi aux obsèques de 20 manifestants anti-régime.
A Al-Baïda (est du pays), les heurts auraient fait 14 morts depuis mercredi.
Les mouvements de protestations ont débuté mardi 15 février.
C’est d’un véritable terroriste et assassin qu’il s’agit, alors que même les États "civilisés" traitent avec lui comme un vrai chef d’État. C’est la manne financière dont il dispose grâce aux richesses de la terre, par ailleurs amazighe, que l’État qu’il dirige occupe, qui les intéresse.
Mais aujourd’hui, cet énergumène se livre à un véritable génocide au sein des populations qui se sont soulevées pour crier leur rejet de la dictature et de l’humiliation qui n’ont que trop duré.
Militaires, policiers, agents des fameux comités "révolutionnaires", véritable milice au service du tyran, sont entrain de tirer à bout portant, usant même d’armes de guerre, sur les manifestants. Comme si tout cela ne suffisait pas, le dictateur engage des mercenaires recrutés dans les pays voisins, grassement payés, pour les envoyer terroriser et tuer partout où les populations sortent dans la rue pour contester et appeler à la chute du régime de Kadhafi.
Qu’un malade, crapule d’un autre âge, s’adonne à cet exercice, cela peut paraitre chose normale. Mais que la communauté internationale laisse faire une boucherie pareille, cela est dramatique. Il est inquiétant de constater le silence d’États comme la France ou les États-Unis d’Amérique après six jours de répression féroce.
Qu’attendent ces donneurs de leçons en matière de droits de l’Homme pour lever le petit doigt et dire à ce minable de Kadhafi d’arrêter son jeu ? Attendent-ils que tout le peuple soit exterminé ? Qu’est-ce qui tourne dans leurs têtes en ce moment ? Les enjeux liés aux riches que regorge le sol libyen doivent être pour beaucoup dans cette position indigne de "démocraties" occidentales. Et comment croire au discours de paix souvent tenus par ces puissances ? Peut-on aspirer à la paix sur cette Terre avec des individus comme Kadhafi qu’on tolère à la tête d’États ?
L’attitude criminelle de ce tyran justifie non seulement la réaction de la communauté internationale, mais une résolution du Conseil de sécurité et une intervention militaire pour le faire taire à jamais... ce minable. Il est un danger pour l’Humanité entière... certains ont déjà oublié les crimes qu’il commis et les exactions dont il s’est rendu responsable.
Il n’est pas interdit d’espérer, mais en attendant, nous allons tout faire pour apporter soutien, ne serait ce que moral, à ceux qui ont eu le courage de sortir affronter le despote et qui sont déterminés à se battre jusqu’à la chute de la bêtise dans cette partie de la Berbérie, en attendant la véritable libération....
Samedi 19 février 2011.
Nous apprenons, par le site Ossanlibya.org que l’un des fils de Kadhafi serait arrêté dans l’un des hôtels de la ville de Benghazi. Le site signale que le capitaine Sanoussi qui s’occupe de la sécurité personnelle de Kadhafi, et qui a son service 1500 hommes, n’a pas pu le libérer pour le rapatrier à Tripoli.
Par ailleurs, et selon la même source, qu’un nombre important des membres de la famille du tyran auraient quitté la Libye.
- Au moins 84 morts, selon le site Libération.fr :
En Libye, 84 morts au moins depuis mardi.
Les forces de sécurité ont tué au moins 84 personnes en Libye depuis le début des manifestations mardi, selon Human Rights Watch, qui s’appuie sur des témoignages de personnel hospitalier et de témoins, et affirme que la plupart des 35 personnes décédées vendredi ont été « tuées par des balles réelles tirées par les forces de sécurité ».
A Benghazi, bastion de l’opposition, les affrontements ont été particulièrement violents hier vendredi.
Vendredi 18 février 2011 - 10http://lci.tf1.fr/monde/afrique/lib....
Les médias font état d’au moins 24 morts en Libye et des dizaines de blessés, selon des témoignages locaux.
Le site amazigh Ussan rend public une liste de 10 morts avec leurs noms et signale 3 morts non identifiés.
Ibrahim Mohamed Arfi (19 ans), Nadji Djamaa Djardan Kouafi (18 ans), Moutaz Abd Ati Darouki (19 ans), Ahmed Allam (27 ans), Fawzi Hocine Sabri (36 ans), Marwan Chatchat (20 ans), Mohamed salem Boudjenah (21 ans), Idris Ali Raslan (13 ans), Rami Salah (18 ans), Fathi Boudjellaoui (26 ans).
Vendredi 18 février 2011 - 20h - Le Parisien
En Libye, le bilan s’élève vendredi à 41 morts depuis le début des protestations mardi, selon un décompte de l’AFP fait à partir de différentes sources locales.
Ce bilan ne comprend pas les quatre détenus tués vendredi par les forces de l’ordre alors qu’ils tentaient de s’évader de la prison d’El-Jedaida, près de Tripoli, ni les deux policiers pendus par des manifestants à Al-Baïda (200 kilomètres de Tripoli).
Dans la journée de vendredi, de nombreux prisonniers se sont évadés après une mutinerie d’une prison à Benghazi, deuxième ville de Libye où les manifestations contre le régime ont été réprimées dans le sang. « Il y a eu une mutinerie à la prison d’al-Kuifiya et un grand nombre de prisonniers se sont échappés », a déclaré le chef de la rédaction du journal local Quryna, Ramadhan Briki.
Le siège de la radio de Benghazi a également été incendié par des manifestants.
Benghazi est l’un des bastions de la contestation anti-Kadhafi et les manifestations qui s’y déroulent depuis mardi sont violemment réprimées. Rien que pour la journée de jeudi, quatorze personnes auraient été tuées dans les opérations de maintien de l’ordre. Des milliers de personnes ont participé vendredi aux obsèques de 20 manifestants anti-régime.
A Al-Baïda (est du pays), les heurts auraient fait 14 morts depuis mercredi.
Les mouvements de protestations ont débuté mardi 15 février.
Titre initial : "Mouvement de contestation en Libye... La fin de Kadhafi s’approche !" (jusqu’au 20 février)
Présentation initiale :(jusqu’au 20 février) :
Des mouvements de protestations sont en train de gagner plusieurs endroits en Libye et l’opposition se dit optimiste et croit en la chute de Kadhafi. Des portraits du tyran ont été brûlés et des appels fusent de partout pour des manifestations.
Le régime libyen, quant à lui, ne lésine pas sur les moyens pour faire taire toute contestation et ce ne sont pas les moyens qui lui manquent. Au delà de la répression sauvage dont il use par une armée acquise à Kadhafi et des fonctionnaires grassement payés par le régime et qui sont de véritables soldats, le régime fait appel à toutes les méthodes d’intimidation et de menace possibles et imaginables. A titre d’exemple, un SMS a été adressé mercredi 16 février à tous les Libyens possédant des téléphones portables les menaçant de représailles s’ils s’aventureraient à répondre aux appels à manifestation lancés par l’opposition.
A souligner également que Kadhafi dispose de milices nommées "Comités Révolutionnaires" ; ses membres sont prêts à mourir pour défendre et protéger leur "guide".
Nous suivrons avec beaucoup d’intérêt ce mouvement de contestation en espérant que les militants amazighs réussiront à tirer leur épingle du jeu.