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3 avril 2012, par Tilelli
Un poète irakien a bien parlé, un jour, de pays qui, par tristesse peuvent s’en aller, plier les arbres et les rivières et prendre la route et un taxi. A l’époque c’était un poème, aujourd’hui, cela s’appelle de la géostratégie. Aujourd’hui, depuis le 11 septembre, Al-Qaïda, la lutte anti-terroriste mondiale, la « global war » ou le commerce des otages, les pays sont « pliables », on peut les mettre dans des poches, des bagages, des coins.
On peut retrouver un pays entier dans un trou (Avec Saddam), le (...)