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29 mars 2012, par Tilelli
Le putsch s’explique par le “problème du Nord” : une rébellion touarègue jamais réglée, renforcée par les armes pillées chez Kadhafi.
A un mois du scrutin présidentiel, initialement prévu le 29 avril, une partie des militaires maliens ont décidé de brusquer le tempo en s’emparant du pouvoir, le 22 mars, au nom d’un Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l’État (CNRDR), un libellé plus pompeux qu’annonciateur de changement.
Outre l’ambition de quelques officiers (...)