En réponse à :
2 mars 2012, par Sam
Il est plus facile, à l’état actuel des événements au Mali, de poursuivre la guerre contre la rébellion plutôt que de parvenir à une paix bancale… Les précédentes négociations ont tout simplement péché par manque de réalisme à Bamako.
La technique, côté rebelle partout dans le monde, consiste à accentuer la pression sur l’opinion publique nationale et internationale en vue de faire admettre que le pays assiégé est au bord de la rupture. Les plus petits faits de guerre anodins sont transformés en victoires (...)