En réponse à :
27 février 2012, par Tilelli
Bien que Nouakchott et Paris tentent de prendre le train des négociations en marche, c’est bel et bien Alger qui mène la médiation entre les belligérants au Mali. Aussi bien acceptée par Bamako, que par l’aile modérée des rebelles maliens, Alger se place à égale distance, dans un périlleux exercice de style, entre l’État malien et le Mouvement national pour la libération de l’Azawad. Officiellement, la France mène, aussi, les négociations pour aboutir à un cessez- le-feu, mais Bamako se plaint depuis des (...)