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4 mars 2011, par Tamilla
Un art inspiré de l’émigration de leurs hommes pour le travail dans les mines du Nord.
« Mora est venu à l’étable d’El Qelâa. Il a choisi les béliers et laissé les brebis ». Ce poème, comme d’autres lus mardi soir, fut le fruit du traumatisme vécu par leurs auteures, femmes du sud marocain. Leurs hommes étaient partis suivre Félix Mora, le recruteur des mines du Nord venu y chercher de la main d’oeuvre bon marché. « J’ai dû regarder dans les yeux un million de marocain » dira-t-il lui-même. Le ressenti de (...)