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8 janvier 2012, par Tilelli
Si avec la chute du régime de Mouammar El Gueddafi le plus dur a été fait en Libye, il semble tout de même que le pire est à craindre dans ce pays désormais régenté par des milices armées.
Pour la première fois depuis la fin de la guerre civile, le président du Conseil national de transition (CNT), Moustapha Abdeljalil, a reconnu l’existence de « confrontations militaires » et évoqué, dans la foulée, le risque d’une « sécession », voire même d’une « guerre civile ». « Sans sécurité, il ne peut y avoir ni (...)