En réponse à :
6 janvier 2012, par Tilelli
Alternatives Internationales Hors-série n° 010 - janvier 2012
Un an après le début des révolutions arabes, le politologue Gilles Kepel revient sur les spécificités nationales de ces mouvements, les divergences existant entre les différents partis islamistes et le jeu politique - à l’issue incertaine - à l’oeuvre dans la région.
La Tunisie a été le premier des pays arabes à basculer dans la révolution. Quels bilans tirez-vous de cet événement ?
Gilles Kepel. En Tunisie, un véritable processus (...)