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21 avril 2011, par Tilelli
ALGER — Dix ans après les émeutes du "printemps noir" en Kabylie, les familles des victimes réclament justice et menacent d’en appeler aux instances internationales pour engager des poursuites contre les responsables de la répression qui a fait 126 morts et des centaines de blessés.
"La douleur reste immense car les responsables de ces assassinats n’ont toujours pas été jugés : c’est l’impunité", a déploré auprès de l’AFP Khaled Guermah père de Massinissa, dont la mort a été l’étincelle ayant embrasé (...)